O’black – l’atelier clandestin

Le travail de Malachi Farrell se caractérise par des installations mécaniques et électroniques complexes, où s’affrontent des automates dans des scénari visuels et sonores haletants.

Dans O’black, Malachi Farrell a choisi de s’intéresser aux affres des ateliers de travaux clandestins et à l’aliénation des travailleurs par la chaîne de production. Se livrant à un spectacle à deux temps, les « ouvrières » de la machinerie Farrell vont passer du rêve à la réalité de l’atelier clandestin.

Cette Installation à été crée à la Tôlerie (Clermont-Ferrand) en collaboration avec le Centre Georges Pompidou où elle a été présentée par la suite lors de l’exposition Dyonisiac.